L’approvisionnement régulier en aliments aquacoles reste une contrainte car ils ne peuvent être fabriqués sur place et doivent être commandés à l’extérieur de la Guadeloupe.
Depuis la crise de la vache folle, la réglementation sur la fabrication des aliments pour bétail s’est considérablement durcie. Les farines d’origine animale sont totalement prohibées pour l’alimentation des animaux terrestres. Si les farines carnées demeurent interdites, les farines et huiles de poissons restent indispensables dans la formulation des aliments aquacoles. A ce titre, ils ne peuvent être fabriqués sur les même chaines que celles destinées à la production d’aliments pour animaux terrestres.
Une chaine de production d’aliment ne peut être rentabilisée en dessous d’un seuil de plusieurs milliers de tonnes. Compte tenu de la taille de la filière aquacole aux Antilles et du trop faible débouché qu’elle constitue pour le fabricant local, l’investissement sur une chaine de production pour aliment aquacole n’est pas aujourd’hui envisageable. Cette contrainte impose aux producteurs aquacoles, d’importer leurs aliments d’usines spécialisées. Par ailleurs les contraintes réglementaires européennes limitent aujourd’hui l’origine des importations d’aliments à l’Europe.
Afin de bénéficier de prix non prohibitifs, le SYPAGUA poursuit son rôle en matière de gestion des stocks d’aliments, de prévisions, de commandes et d’encaissements. Le système fonctionne aujourd’hui correctement.
Une chaine de production d’aliment ne peut être rentabilisée en dessous d’un seuil de plusieurs milliers de tonnes. Compte tenu de la taille de la filière aquacole aux Antilles et du trop faible débouché qu’elle constitue pour le fabricant local, l’investissement sur une chaine de production pour aliment aquacole n’est pas aujourd’hui envisageable. Cette contrainte impose aux producteurs aquacoles, d’importer leurs aliments d’usines spécialisées. Par ailleurs les contraintes réglementaires européennes limitent aujourd’hui l’origine des importations d’aliments à l’Europe.
Afin de bénéficier de prix non prohibitifs, le SYPAGUA poursuit son rôle en matière de gestion des stocks d’aliments, de prévisions, de commandes et d’encaissements. Le système fonctionne aujourd’hui correctement.